Lionel Richard, Comprendre le Bauhaus, InFolio, 2009.
« Un livre à la fois systématique et documenté, vivant et agréable d’accès. Par le meilleur spécialiste de l’histoire de l’art et de l’histoire politique de l’Allemagne contemporaine, une synthèse sur le Bauhaus, ses ambitions, ses métamorphoses, ceux qui l’ont marqué. Une tentative sans précédent – malgré l’abondance de littérature sur le sujet – pour sortir le Bauhaus de la légende dans laquelle on l’a enfermé, et pour le saisir dans la perspective globale qui l’a constamment inspiré. Au-delà des disciplines qui s’y sont illustrées (architecture, design, arts plastiques, etc.), l’ouvrage fait comprendre dans quelle perspective et sur quel fond d’angoisses et d’espoirs s’est élaborée l’oeuvre du Bauhaus. »
Magdalena Droste, 100 ans de Bauhaus, Taschen, 2019.
« (…) cet ouvrage de référence a été réalisé en collaboration avec le Bauhaus-Archiv/Museum für Gestaltung de Berlin qui abrite à ce jour la plus importante collection sur l’histoire du Bauhaus. Documents, études, plus de 250 photographies inédites, croquis, plans, maquettes et prototypes retracent les oeuvres réalisées ainsi que les grands principes et les personnalités qui ont formé ce collectif d’artistes idéalistes, au fil de ces trois lieux d’implantation à Weimar, Dessau et Berlin. Des clichés pris sur le vif pendant les séances de gymnastique aux croquis réalisés par des élèves de Paul Klee, des immenses plans architecturaux au cendrier si élégant de Marianne Brandt, la collection vibre des couleurs, des matières et des formes géométriques caractéristiques de l’oeuvre d’art «totale», concept au coeur de la vision du Bauhaus. »
Patrick Rosslër, Bauhaus Girls, Taschen, 2109.
« Bauhaus Gals présente près de 90 artistes et artisans à travers des textes et des portraits photographiques, dont beaucoup publiés pour la première fois. Des découvertes récemment faites parmi les archives raniment la vie de ces talents qui gagnent à être reconnus, tels que Marianne Brandt, première femme admise dans la classe de métallurgie du Bauhaus, dont les modèles sont encore édités à ce jour par Alessi, Gertrud Arndt qui, après avoir été dissuadée d’étudier l’architecture par l’Université, s’est épanouie dans la photographie et la création de tapis ou Lucia Moholy, qui immortalisa les bâtiments du Bauhaus dans des clichés emblématiques mais passa le restant de ses jours à en récupérer les négatifs qui lui furent retirés. Au-delà, l’ouvrage retrace les autres femmes artistes aux noms presque effacés de nos mémoires, mais qui demeurent tout de même des pionnières de l’égalité des sexes par leur refus de suivre les conventions sociales et familiales. »
Jeannine Fiedler, Peter Feierabend (Sous la direction de), Bauhaus, HF Ullmann Editions, 2013.
Jeannine Fiedler, Peter Feierabend (Sous la direction de), Bauhaus, HF Ullmann Editions, 2013.
Jeannine Fiedler, Peter Feierabend (Sous la direction de), Bauhaus, HF Ullmann Editions, 2013.
Jeannine Fiedler, Peter Feierabend (Sous la direction de), Bauhaus, HF Ullmann Editions, 2013.
Jeannine Fiedler, Peter Feierabend (Sous la direction de), Bauhaus, HF Ullmann Editions, 2013.
Jeannine Fiedler, Peter Feierabend (Sous la direction de), Bauhaus, HF Ullmann Editions, 2013.
Collectif, L’Esprit du Bauhaus, Les Arts Décoratifs – UCAD, 2016).
« L’ouvrage pose la question des sources et des influences dont le Bauhaus a pu s’inspirer : la hiérarchie entre maître et compagnon héritée du Moyen Âge, le goût pour les contrastes et la composition dans les arts chinois et japonais, mais aussi les antécédents des modernités allemandes, des Arts and Crafts britanniques et des utopies viennoises. L’héritage du Bauhaus a été considérable, et dans ce livre c’est sous son versant le plus contemporain que ce sujet est abordé : l’artiste Mathieu Mercier a été invité à choisir une quarantaine de plasticiens, designers, graphistes ou créateurs de mode dont les réalisations, à ses yeux, incarnent l’esprit du Bauhaus en ce début du XXIe siècle. »
Collectif, L’Esprit du Bauhaus, Les Arts Décoratifs – UCAD, 2016).
Élodie Vitale, Le Bauhaus de Weimar (1919-1925), Éditions Mardaga, 1995.
« Cet ouvrage analyse comment, sous la pression de la situation économique et des changements intervenus au niveau politique et social, le Bauhaus évolue vers une conception beaucoup moins lyrique, proposant l’unité entre l’art et la technique. Il montre par ailleurs comment cette évolution conduit à un effacement de la dimension artistique dans l’architecture. (…)
Ce livre analyse l’influence des changements intervenus dans le domaine économique, social et politique sur l’évolution des théories et des programmes du Bauhaus. Il se limite à la période de Weimar (1919-1920), la moins connue, mais sans doute la plus importante pour évaluer et comprendre la signification ultérieure du Bauhaus. Abondamment illustré et tirant profit d’importantes études sur le Bauhaus, pour la plupart inconnues dans les pays de langue française, l’ouvrage se base sur des archives spécialisées, notamment les archives du Bauhaus de Berlin et les archives d’Etat de Weimar. Il comporte en annexe plusieurs textes importants, dont quelques-uns introuvables ou inédits, accompagnés de leur traduction en langue française. »